Son président, Christian Overbeek, tient d’ailleurs à rappeler d’entrée de jeu que la production de grains est à la source de toute l’agriculture québécoise, puisqu’elle approvisionne autant l’alimentation humaine qu’animale.
«De nombreuses industries québécoises sont dépendantes de la production de grains, qui représente environ 20 000 emplois au Québec», dit-il, conscient des temps difficiles que vivent les Québécois en raison de la COVID-19.
«De plus, ajoute-t-il, nous savons aussi que notre production est essentielle au bon fonctionnement de notre société. Par conséquent, nos producteurs travaillent activement pour assurer la production d’aliments sains pour notre économie ainsi que pour tous les Québécois et Québécoises.»
Le nécessaire sera fait pour garantir la sécurité sanitaire des producteurs et des productrices, promet en outre M. Overbeek. «Nous tenons à rassurer la population à l’effet que la crise de la COVID-19 ne créera pas de pénurie, ni pour le secteur animal, ni pour le secteur alimentaire ».
Le secteur des grains est essentiel pour le Québec et son agriculture. En plus de nourrir l’ensemble des autres productions, ces denrées contribuent à une saine alimentation humaine ainsi qu’à l’épanouissement de l’économie québécoise. Dans ce contexte, il est primordial, selon les PGQ, que les gouvernements du Québec et du Canada s’engagent respectivement à concrétiser les mesures attendues pour garantir la compétitivité du secteur des grains et soutenir adéquatement les efforts environnementaux entrepris par les producteurs du secteur.
(CA)
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